« Dans l’entre deux mondes, la combattante cherche une issue. Mais elle a beau s’agiter, elle en revient toujours au même point… Privée d’épée et d’entourage, la guerrière s’entête pourtant, ignorant une voix qui la hante depuis sa dernière bataille. – C’était la dernière, pense-t-elle, la toute dernière. »
Dans un spectacle composé pour les Souterraines, Djoune aborde le rapport au corps, à l’enfance, au destin, questionnant le deuil, cherchant la force des liens à travers les dimensions. Un seule-en-scène mélodieux, tantôt sombre tantôt lumineux, où se réparent des liens abîmés par les règles du monde.